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Tu n’es pas seul! Accompagnement dans la recherche d’un emploi que tu aimes et qui te convient

Bonjour, c’est Agat,

Qu’est-ce qui revient tel un boomerang à chaque début d’année, n’est quasiment jamais tenue, et plaît tant aux Québécois ? Réponse : la fameuse bonne résolution…

Se mettre au sport, arrêter de fumer, perdre du poids, apprendre une langue étrangère, se dégager du temps libre : tous les ans, ces déclarations d’intention reviennent, et avec elles, l’espoir de les tenir.

Un espoir bien souvent vite déchu. Une étude récente sur 3 000 participants a livré la conclusion éloquente suivante : seuls 12% des personnes interrogées avaient atteint leur but douze mois plus tard.

Prendre une bonne résolution revient à se donner bonne conscience sur l’instant mais, finalement, le constat reste implacable : on n’agit pas (ou très peu).Pourquoi, me diras-tu ?

Parce que pour passer à l’action, l’être humain a d’abord besoin d’une bonne raison.

Par exemple, prendre conscience d’un danger immédiat. C’est ce qui s’est produit avec mon père.

En 1985, il est victime d’un infarctus. À ce moment-là, il a visualisé cette alternative : soit le paquet de cigarettes (et la mort au bout), soit ses enfants. Autant vous dire qu’il a décidé d’arrêter de fumer du jour au lendemain.

Autre raison pour expliquer l’échec d’une bonne résolution : son auteur n’a ni le courage, ni la motivation d’agir. Et il en faut quand même un peu, pour parvenir à ses fins. Eh oui, on n’a rien sans rien. Il faut se faire mal, comme on dit. Aïe, aïe, aïe !
Si les bonnes résolutions sont rarement tenues, elles n’ont pas que des défauts. Lorsque l’on creuse un peu, on se rend compte qu’elles matérialisent une volonté d’aller de l’avant et de vouloir changer les choses. C’est déjà un premier pas important et nécessaire.

Par exemple, si tu es un jeune qui veut sortir du cycle infernal « je ne trouve pas une job qui corresponde à ma nature ou à mes compétences », tu as peut-être décidé que 2022 serait l’année du décollage de ton insertion active et pérenne sur le marché du travail.

C’est un excellent point de départ, mais si tu as bien suivi, ce ne sera pas suffisant. Pour réussir, tu dois impérativement :

  • Avoir un objectif bien défini.
  • Avoir envie de te dépasser.
  • Ne pas hésiter. Si j’ai un bon conseil à te donner, tiré de mon expérience personnelle, c’est le suivant : n’attend pas le bon moment, il ne vient jamais.
  • Te montrer persévérant.
  • Chasser la négativité, etc.

Et j’ai gardé le plus important pour la fin. Tu dois AB-SO-LU-MENT disposer d’un plan pour mettre en application ton désir de réussir, même si tu ne te juges pas encore prêt.

Ce plan d’action structuré, tu le trouveras dans notre projet Cultiver mon intégration en emploi (CMIE), dont l’inscription est ouverte maintenant, mais seules quelques places dont disponibles.

Sans aucuns frais, tu auras accès à des ateliers de formation adaptés à tes besoins pour que tu puisses les suivre à ton rythme, qui t’apprennent à mieux connaître tes compétences et tes capacités, à les valoriser dans ton CV, à réussir un entretien d’embauche, etc. Le suivi qu’on t’offre et le plan d’action, qui sera préparé avec toi, sont véritablement individualisés et personnalisés. Bref, on te montre, pas à pas, comment bien te préparer pour réussir sur le marché du travail et décrocher un emploi qui te corresponde vraiment.

Et retiens ça : tu n’es pas seul! Les agents du projet vont t’accompagner dans la recherche d’un emploi que tu aimes et qui te convient. Et plus, grâce à ta participation au projet, tu recevras une bourse d’achèvement, au montant allant jusqu’à 500 $, remise par Actions interculturelles.

Je ne t’en dis pas plus. Si le sujet t’intéresse, clique ici pour t’inscrire.

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